une personne pendant 12 heures, sans interruption. Un chalet, ma mère, une volonté de recréer des souvenirs familiaux. Un moment tant photogra-phique qu’émotionnel est créé. Ainsi, à l’ombre
des arbres, une collaboration artistique inattendue débute, les idées fusent, l’appareil s’enclenche.
Au fil des pages, des écrits personnels entrent
en discussion avec les images, examinant avec timidité l’idée d’un monde sans mère, d’un monde maussade, d’un monde qui arrivera.